2014/12/24
[12]DECEMBRE < calendrier perpétuel /agnes al
2014/11/07
[11]NOVEMBRE < calendrier perpétuel /agnesal
2014/10/27
night in white satin\ if love exist...
©agnesAL
Nights in white satin
Never reaching the end
Letters I've written
Never meaning to send
Beauty I've always missed
With these eyes before
Just what the truth is
I can't say any more
'cause I love you
Yes I love you
oh oh oh I love you
Gazing at people
Some hand in hand
Just what I'm going through
They can understand
Some try to tell me
Thoughts they cannot defend
Just what you want to be
You will be in the end
And I love you
Never reaching the end
Letters I've written
Never meaning to send
Beauty I've always missed
With these eyes before
Just what the truth is
I can't say any more
'cause I love you
Yes I love you
oh oh oh I love you
Gazing at people
Some hand in hand
Just what I'm going through
They can understand
Some try to tell me
Thoughts they cannot defend
Just what you want to be
You will be in the end
And I love you
Libellés :
Autopsychography,
Black and White Poetry,
PHOTOS©agnesAL
2014/10/23
[] triste comme un coucher de soleil [] FERNANDO PESSOA
©agnesAL
Je n'ai jamais gardé de troupeaux,
Mais c'est vraiment tout comme. Mon âme ressemble à un berger,
Elle connaît le vent et le soleil
Et marche la main dans la main avec les Saisons,
Poursuivant son chemin et regardant.
Toute la Paix de la Nature sans les hommes
Vient s'asseoir auprès de moi.
Mais je suis triste comme l'est un coucher de soleil
Pour notre imagination,
Lorsqu'au fond de la plaine le temps fraîchit
Et que l'on sent la nuit entrer
Comme un papillon par la fenêtre.
FERNANDO PESSOA
2014/10/05
[10]OCTOBRE < calendrier perpétuel /artplusplus
2014/09/01
[9]SEPTEMBRE < calendrier perpétuel /artplusplus
2014/08/31
INDIAN SUMMER IN ESSAOUIRA [] pinky lovely []
2014/08/30
[Silences et Correspondances] summer2014_08/
©agnesAL
La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L’homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l’observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
II est des parfums frais comme des chairs d’enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
— Et d’autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l’expansion des choses infinies,
Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,
Qui chantent les transports de l’esprit et des sens.
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal
2014/08/29
ZOUINA [TITILY] IN ESSAOUIRA 2014_08
2014/08/04
[9]AOUT < calendrier perpétuel /artplusplus
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